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ALLIANCE-ROYALE66

24 septembre 2017

Le postulat comme quoi la démocratie, c'est le pouvoir du peuple par le peuple.

Le postulat comme quoi la démocratie, c'est le pouvoir du peuple par le peuple.
La république n'est pas le pouvoir du peuple par le peuple. Le vrai pouvoir n'est même pas à l'Élysée,, ni à la chambre des députés mais à Bruxelles, à Wall Street! Le régime républicain c'est un régime des intérêts privés. Regardez les partis ont besoin...
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8 août 2017

ABROGER LE MONOPOLE EDUCATIF

Le monopole éducatif de l'Etat doit être abrogé: les établissements sont responsabilisés, le libre choix scolaire est institué, et l'enseignement professionnel est revalorisé. Le monopole de l'Etat sur l' éducation doit être abrogé afin de limiter son...
6 juillet 2017

LA CONSTRUCTION D’UNE JUSTICE D’ ÉTAT EN FRANCE DU MOYEN ÂGE A LA RÉVOLUTION.

LA CONSTRUCTION D’UNE JUSTICE D’ ÉTAT EN FRANCE DU MOYEN ÂGE A LA RÉVOLUTION.
. Les sources de notre système judiciaire doivent être recherchées dans les origines même de nos institutions étatiques. En effet, non seulement la naissance puis l’affermissement de l’État en France sont concomitants de l’unification de la justice royale,...
14 mars 2019

Se démettre plustôt que de se soumettre

SE DEMETTRE PLUTÔT QUE DE SE SOUMETTRE

 

Sorti de sa réserve, le Général Pierre De Villiers s’interroge aujourd’hui sur (Qu’est-ce qu’un chef ?) de la même manière on peut dire qu’es-ce qu’un maître ? dénonçant la crise d’autorité qui continue à se développer dans nos démocraties.

L’autorité, qui légitime, le droit de commander et d’être obéi, consiste plus à faire jaillir de ses équipes l’initiative, l’imagination, les solutions, qu’à exercer des pressions constantes.

En publiant ses ouvrages, le Général Pierre de Villiers ouvre une brèche dans le monde du mutisme, mais ceux qui recherchent un esprit de vengeance ou des mots mettant un terme à la regrettable escarmouche publique au plus haut niveau du commandement, resteront sur leur faim.

Ce n’est pas le registre ni le tempérament de l’auteur centré sur le culte de la mission et non sur le règlement de comptes, pour finalement gagner une guerre sans (perdre une paix) ; ses leçons d’humilité doivent s’apprécier en silence dans l’isolement du pouvoir.

On y trouve des témoignages sur (la violence qui recule partout où la force avance), et sur les difficultés à établir des relations de confiance entre le monde militaire qui (dans une sincérité au premier degré, travaille portes ouvertes, regarde dans les yeux et se préoccupe de l’intérêt général)., et celui du politique peu enclin à la détermination, ce (courage du temps long).

Le fossé se creuse de plus en plus entre ceux qui décident et ceux qui exécutent sans réellement comprendre ; l’homme n’est plus au centre, ce n’est plus son bonheur qui compte mais sa performance et la dimension financière dans laquelle il s’inscrit. Cette vision d’un militaire rompu aux méthodes de commandement renforce son prestige, et sa réflexion lucide sur la déshumanisation de notre société explique, au moins en partie, les désordres qui la déconstruisent.

Le chef est (tourné vers les autres ; pas vers le pouvoir qui peut rendre aveugle par orgueil) ; il écarte ce qui unit, il respecte et fait confiance, recherchant un (obéissance d’adhésion et d’amitiés) plutôt que celle imposée par la contrainte.

Le militaire est plus vertueux que le politique parce qu’il sait que servir n’est pas se servir, que la cohésion se construit pour et pas contre, que dans les vraies guerres, pas celles d’opinions, les balles sont réelles et la lâcheté se paie (cash) au prix fort, et que les vraies stratégies ne se limitent pas à une durée de mandat.

Inspiré du texte de Philippe Nourrisson.

14 octobre 2018

Une France royale au cœur de l'Europe

 

Chers amis,

L'assemblée des membres actifs présents à la 14ème université d'été, confirme les directives générales établies lors de l'assemblée générale de septembre 2017. L'Alliance royale poursuit son action dans le cadre de l'article 3 de ses statuts ; à savoir mettre dans le débat politique et médiatique l'institution monarchique.

Donc nous participerons aux élections européennes de 2019 en dépit de la perversité gouvernementale qui impose une liste pour cette élection au lieu des 8 listes qui était le lieu commun de cette élection. La stratégie étant d'évacuer les petites listes qui empêchent les grands partis de jouer en toute quiétude leur partition de l'alternance gauche-gauche.

Nous affirmerons nos positions  développées dans le livre de notre doctrine ; « Royalisme aujourd'hui » ! dont je dispense des extraits.

L'union européenne, qui préfigure un État est rejeté. L'Europe et la francophonie constituent les espaces de coopération de notre pays. L'héritage chrétien de l'Europe est réaffirmé.

L'Alliance royale considère qu'il faut affirmer notre souveraineté face aux mouvements européistes et mondialistes tout en restant résolument attachés à nos espaces naturels de coopération :

L'Union européenne, et toute idée de Constitution , qui préfigure un État, sont donc rejetés. La France doit sortir de l'UE et retrouver la maîtrise de ses lois, de sa monnaie et de sa politique étrangère.

L'Europe est un « espace naturel de coopération ». L'Alliance royale propose de s'en tenir à des initiatives de coopération européenne, pour mener des politiques communes, principalement dans trois domaines : la sécurité, l'environnement et l'économie. … Dans cette perspective, les instances européennes ne contraignent plus les états, mais ont pour mission de mettre en œuvre leurs directives.

La francophonie est le second espace de coopération : elle est rattachée au ministère des affaires étrangères. La France y assure une présence culturelle, des alliances économiques et militaires, et contribue à la formation des élites. Les investissements dans les pays francophones permettent à la fois de renforcer les liens francophones et inverser les flux migratoires.

Reconquérir nos libertés, passe par notre souveraineté ! « liberté de notre Nation ».

 

Le développement de cet extrait de notre doctrine sera la base argumentaire de nos tracts, communiqués et dossiers de presse.

Nous lançons solennellement l'Alliance royale dans la reconquête de ses libertés sous l'étiquette « Une France royale au cœur de l'Europe » et affirmer nos idées par le plan de campagne suivant :

L'équipe de campagne : s'est constituée sous la direction de Philippe Lassalle notre délégué régional de Rhône Alpes. Ses consignes seront diffusées par le bulletin interne.

L'équipe constituée se met donc en place dès aujourd'hui.

Son rôle sera de coordonner les initiatives et les actions des délégations, secrétariats départementaux pour la mise en œuvre de la campagne en soutien avec les candidats.

Un(e) attaché(e) de presse est très vivement recherché(e) !

Les candidats : la liste qui sera conduite par Robert de Prévoisin en qualité de délégué général doit en principe être constituée de 80 candidats, 40 hommes et 40 femmes. Chacun (e) doit avoir un(e) suppléant(e). C'est donc 160 candidats 50% de femmes et d'hommes.

Tout adhérent est susceptible d'être candidat (actif ou passif) pour nous permettre de constituer la liste.

Les règles n'étant pas encore diffusées, nous pensons qu'une répartition territoriale sera imposée.


Robert de Prévoisin

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31 août 2018

LE ROYALISME EN 2018

Aprés un repas familial j'ai été stupéfié de voir l'ignorance sur la royauté gouvernementale. Certaines personnes  ne conserve dans leur mémoire que la royauté de Louis XVI et avant. L'éducation républicaine a fait abstraction que nous avons eu un Empereur, deux rois après la révolution pour gérer la France.

BIZARRE!!!

La ROYAUTE EN 2018 :

Chaque évènement est largement couvert par nos médias républicains, tant la royauté, totalement modélisée par Sa Majesté, la Reine Eliisabteth. Il fascine nos concytoens. C'est aussi l'occasion pour nos journalistes nationaux de faire un point sur la mouvance royaliste en France. L'Alliance Royale contactée à ce sujet remercie RMC ainsi que France Culture de lui avoir ouvert l'antenne ne serait-e que quelques minutes.

Alors que près d'un Français sur trois, selon un sondage officiel, se dit prêt à accueillir un Roi à la fonction suprême, pour conduire les destinées de notre pays et repositionner la France souveraine à la place mondiale qui lui revient, les royalistes ne sont jamais plébiscités par les urnes. il est vrai que l'école républicaine noircit l'image de la royauté celle du Rois tyrans, guerriers et dépensiers, peut à l'écoute de leur peuple harassè et affamé. Il suffit d'entendre ses hymnes révolutionnaires pour s'en convaincre...La monarchie qui fait rêver est celle des contes de fées, de la princesse humble de sa peau de crapaud. Dans les faits, les monarchies représentent une gouvernance moderne, garante de continuité e de stabilité, protection efficace contre les dictatures et tendances extrémistes. C'est une vision en 3D de la société, celle qui rejette la démagogie et le "dégagisme" lorsqu'il ne se justifie pas. À défaut de pouvoir vaincre il faut pouvoir convaincre, et la tâche est fastidieuse, tant les esprits sont fermés et les politiques sourds, retranchés et recroquevillés sur eux-mêmes, en position latéral de sécurité.

Anne Frauquembergue, journaliste au service de France Culture, a instruit un reportage sur le royalisme en France, enrichi par des échanges interactifs avec des témoins et différentes figures de proue, porte-drapeau de la monarchie.

La première partie relatée ci-après est conscré à l'Alliance Royale.

Certains Français semblent être fascinés par la permanence monarchique au sein de ce grand régime parlementaire britannique.Au-delà du mariage du prince, sixiéme dans l'orde d'accession, de cet événement glamour et "people", le royalistes s'affichent en France avec des nouveaux codes sur les réseaux sociaux. Néanmoins, ce renouvellement de l'image ne gomme pas les divisions internes, héritées de l'Histoire qui limitent l'audiance de cette mouvence.

17 août 2018

Robert Bruce (seigneur de Liddesdale)

Robert Bruce (seigneur de Liddesdale)

 

Est un fils illégitime du roi d'Écosse Robert Bruce.

Le futur seigneur de Liddesdale est né aux alentours de 1300. Il est le fils de Robert Bruce, qui s'empare de la couronne écossaise en 1306, et d'une mère inconnue. Le fils illégitime du nouveau roi d'Écosse combat aux côtés de son père aux cours de la guerre avec l'Angleterre et est adoubé à la suite de la bataille de Bannockburn en 1314, au cours de laquelle il a été autorisé à porter les armoiries royales de son père. Lorsque le chevalier William II de Soules est convaincu de haute trahison en 1320 pour avoir cherché à renverser le roi, ce dernier accorde à son fils illégitime les terres et les titres du traître, dont le plus prestigieux est celui de seigneur de Liddesdale1.

À la mort du roi Robert Bruce en 1329, le royaume d'Écosse est affaibli, d'autant que le roi d'Angleterre Édouard III cherche à déstabiliser le nouveau roi David II, qui n'est alors qu'un jeune enfant, en soutenant les prétentions au trône d'Édouard Balliol. Ce dernier rassemble ses partisans réfugiés en Angleterre, surnommés les « déshérités », et entame une invasion de l'Écosse à l'été 1332. Apprenant le débarquement des déshérités, Liddesdale et Duncan IV de Fife lèvent immédiatement une armée pour les rejeter à la mer mais sont battus le 6 août au cours de la bataille de Wester Kinghorn. Liddesdale critique ensuite le gardien du royaume Donald II de Mar pour ne pas être venu à leur aide2.

Le 11 août 1332, la bataille de Dupplin Moor oppose les partisans de Balliol à ceux de David II. Liddesdale renouvelle une nouvelle fois son mécontentement à l'encontre du comte de Mar, qu'il accuse de lâcheté. Piqué au vif, le régent ordonne à sa cavalerie de charger immédiatement l'armée de Balliol. Au cours des combats, l'armée de David II est écrasée par celle de Balliol et les principaux commandants du roi sont tués, dont le régent Mar et le seigneur de Liddesdale. Robert Bruce de Liddesdale n'a jamais contracté d'union et ne laisse aucun enfant connu. Il a été suggéré que Thomas Bruce était son fils, mais aucune preuve n'a jamais pu étayer cette hypothèse

 

 

25 juillet 2018

UN PROJET DE FOND A FAIRE COMPRENDRE

les Français constatent parfoir surpris, désolés, souvent consternés que les équipes des différents parties au pouvoir pataugent joyeusement entre les promesses électorales, le travail titanesque sur le plan législatif, les roulements de tambours et autres bruits de bottes, et que l'action politique de la méthode "du bon docteur Coué" n'enfument plus pour très longtemps la France handicapée par quarante-quatre ans de diverses utopies politiques.Regardez aujourd'hui nous nous trouvons dans le mur de la réalité et du bon sens politique. L'actuel Président de la République est l'héritier d'un système à bout de souffle du fait de sa philosophie et de ses idéologies. Le Président  d'une partie des Français a-t-il les moyens de sa politique, ou fait-il la politique de ses moyens?

Nous devons donner une France souveraine au coeur de l'Europe, sous le règne d'un Roi "  capable d'unir les Français dans un projet pour la France", projet visant la dignité de chaque homme et femme pour le bonheur de leurs enfants. 

Nous sommes conscient que le règne du Roi que nous proclamons ne sera jamais établi solidement sur terre, que le trouble, l'erreur et la perversité reviendront toujours compromettre son oeuvre. la sereine clarté de sa foi ne l'empêche pas de constater selon l'apparence, " la marche des choses"Nous assistons à la perpétuelle défaite du bien.

On voit renaître partout l'idolâtrie (diviser pour mieux régner, la lutte des classes, la lutte des femmes contre les hommes, des enfants contre leurs parents se déchirer entre eux.

Ce qui arrive à la France arrive aussi à chacun de nous en particulier.

Nous devons en fonction de la dérision de nos adversaires et en dépit de certains d'entre nous qui laisse la place "au mal" sous prétexte de ne pas se compromettre avec "la gueuse" faire la politique de la chaise vide.

Nous devons nous unir dans l'action avec toutes les fidéliès et sensibilités tendues vers cette France Royale, pour soutenir le panache blanc de celui qui deviendra le héros serviteur de la France.

L' Alliance royale veut une France souveraine au coeur de l'Europe, sous le règne d'un Roi.

Rejoignez nous!!!

12 juillet 2018

LA RESERVE MILITAIRE

 




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Classée cinquième sur une cinquantaine de critères, derrière celles des Etat-Unis, de la Russie, de la Chine et de l'Inde , la discrète armée française a tout lieu de se atisfaire de cette position. En matière militaire, les effets de taille, mesurée en termes de surfaces et populations sont d'une importance primordiale; aussi la comparaison à ces quatre puissances  est d'autant plus élogieuse.

Promue dans un proche avenir à s'imposer  comme la principale force d'Europe, notre armée s'apprête à contrôler l'appareil militaire de l'Union, et à renforcer son influence dans la politique commune de sécurité. 

L'armée française tient son rang sur les opérations extérieures et l'a prouvé en détruisant des installations, au Moyen Orient,  chimiques en Syrie; elle déploie plus de dix mille militaires , hors de nos frontières, en Europe,aux Emirats, en Afrique, pour assurer une présence ou pour des missions de maintien de l'ordre et de sécurité, réalisées parfois seule, amis aussi dans le adre de l'ONU et de l'OTAN. Quelques sept mille soldats sont également présents outre-mer en Guyanne, aux Antilles, à la Réunion en Océanie aux côtés des populations, au titre de la souveraineté. La Gendarmerie Nationale, composante essentielle des forces armées , compte une centaine de milliers de militaires pour assurer, entre autee, des missions de sécurité intérieure, celles qui font aussi des héros, et particulièrement des réseaux terroristes en activité sur le territoire national.Cent-cinquante militaires ont perdu la vie en dix ans lors d'opérations extérieures , et plus de six-cents ont été blessés.

Le potentiel humain, véritable richesse  de notre armée, mais à très forte contribution lors des opérations extérieures, est suremployé sur le territoire national, notamment dans le cadre de l'opération "sentinelle" déployé après les attentats de 2015 et bien avant sous le règne du Président de la République CHIRAC. Ces dernières missions ne sont plus valorisantes, d'autant qu'elles s'exercent dans un cadre budgétaire très resserré, avec des équipents largement insuffisant, surtout en ce qui concerne la sécurité personnelle de ceux qui assurent la nôtre.

Les efforts ne sont pas reconnus, ni récompensés. Les armées de diète ont considérablement affaibli notre potentiel avec des conséquences prévisibles sur "le moral des troupes" L'armée recrute forme mais ne parvient plus  fidéliser, faute de ne pouvoir améliorer le quotidien des serviteurs; des réformes rapidement perceptibles sont attendues.

Tout n'est pas question de budget mais, néanmoins, l'argent reste "le nerf de la guerre" et l'effort de remontée en puissance ne sera pas aussi rapide que la contraction des crédits car le retour sur investissement s en formations spécialisées nécessite plusieurs années : " une armée s'entretient mille jours durant et s'emploie qu'un moment ", selon un proverbe chinois. Après alerte du chef d'Etat-Major des armée, le général de Villiers, le gouvernement semble prendre conscience de l'inadéquation  entre ambitionss politiques, les programmes engagés etdes myens qu'ils impliquent; un effort budgétaire est alors programmé sur cinq ans, avec mise à niveau des effectifs.

Si les moyens mis à disposition sont déterminants por sa puissance et son rayonnement dans les parties du monde où elle intervient, son prestige auprès de la population de l'hexagone et hors métropole, ainsi que l'engagement de la Nation constituent des soutiens indispensables à ses réuissites. Ainsi même avec un budget notablement inférieur , les perspectives à moyen terme pour notre arméee sont plus favorables que celles de nos voisins britanniques, pourtant réévaluées à la hausse.

La mouvance soixante-huitarde et la diminution des menaces aux frontières du monde occidental, ont accentué le désintérêt des français pour leur armée.

Le terrorisme islamique qui représente aujourd'hui la menace la plus visible et la plus perceptible selon le Chef de l'Etat impulse une dynamique inverse; mais il existe bien d'autres foyers et le monde peut rapidement s'embraser. Selon un rècent sondage trois français sur quatre trouvent leur armée performante, et plus de huit sur dix estiment que son budget n'est plus en ligne avec les missions qui lui sont confiées. L'image et le prestige de l'armée et cette tendance est en lien avec l'insécurité qui s'installe discrétement mais, progressivement dans le pays, gangrène l'Europe et l'Afrique.

Dans ce contexte l'idée d'établir un service militaire universel, est probablement la plus novatrice pour tenter de transformer notre société, et de la préparer aux nouveaux défis. Toutefois, il convient de le repenser dans l'objectif de tisser les liens qui se sont dégradés entre la Nation et une partie de sa jeunesse, plus que dans celui de former de futurs réservistes. En apprenant que la France est un bien qui appartient à tous, que chacun doit servir et défendre, on peut espérer, au cours des classes appelées et dans les générations futures, neutraliser ceux qui cherchent à la détruire de l'intérieur, faute de formations, de civisme et d'objectifs. Nos militaires seront partiellement soulagés des missions intérieures de surveillance tout en assurant des actions de formation indispensables aux fondamentaux de notre société.

Défendre et protéger la France et l'Europe, intervenir dans le monde au nom du droit et des valeurs morales et démocratiques, sont des missions de notre armée dont nous pouvons être fiers. Mais il faut aussi chasser de nos territoires, les armées d'occupation qui imposent des règles défiant celles de la République, dans les zones qu'elle a délaissées. Le service universel, associé à d'autres pratiques à mettre en oeuvre dès l'enfance, n'est pas la solution, mais très certainement l'une de ses composantes pour y parvenir dans le temps. Il y aura des coûts à assumer, et d'importants profits à en tirer sous une génération.

La défense nationale, s'est mise en chemin vers ces objectifs, mais le temps perdu ne se rattrape pas, et la cadence devra être augmentée.

Philippe Nourrisson

 

2 juillet 2018

LOUISE DE KEROUALLE

 

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Louise de Kéroualle est un personnage hors du commun,qui vécut jusqu'à l'âge de 85 ans, ce qui pour l'époque était considérable. Elle était née Louise Renéede Penancoët de Kéroualle, en 1649, dans un modeste manoir breton, près de Brest, qu'elle quitte en 1668 pour devenir fille d'honneur de Madame (Henriette d'Angleterre, soeur du Roi Charles II et épouse de Monsieur , le Duc d'Orléans, frére du roi Louis XIV).

Elle était née Louise Renée de Penancoët de kéroualle, en 1649, dans un modeste manoir breton, près de Brest, qu'elle quitte en 1668 pour devenir fille d'honneur de madame (henriette d'Angleterre, soeur du Roi Charles II et épouse de Monsieur, le Duc d'Orléans, frère du Roi Louis XIV).

Elle était protégé par le Duc de Beaufort, grand amiral de France et gouverneur de Bretagne, ami de ses parents.

Elle passait dans sa jeunesse pour être la plus belle fille du royaume, et se servira de cette beauté et de son goût de l'intrigue pour servir Louis XIV.

Elle était allée e Angleterre une première fois, en 1669, avec Henriette d'Angleterre. Elle retourna à Douves une seconde fois en 1670 et fut remarquée par le Roi Charles II. Elle sut gagner les bonnes grâces du souverain qui la retint à la our de Londres et elle ne fut pas étrangère à la conclusion de l'alliance franco-anglaise contre la Hollande. Louise eut alors la charge de dame d'honneur de la reine Catherine de Bragance, épouse de Charles II et devint ensuite la favorite attitrée du Roi.

En 1673, ayant accédé au désir du roi d'Angleterre, et pour la remercier de son intervention qui avait abouti à la neutralité de l'Angleterre pendant la guerre des Flandres, Louis XIV donna terre d'Aubigny à Louise de Kéroualle, duchesse de Portsmouth, et au fils qu'elle avait eu de Charles II, Charles Lennox, duc de Richmond.

La seignerie lui fut donnée pour être transmise ensuite à "celui de ses fils naturels qu'il nommera et à la descendance mâle en ligne directe dudit fils naturel" (in archives de La verrerie). En 1684, Louis XIV érigea le fief d'Aubigny en duché-parie. La duchesse de Portsmouth passa la fin de sa vie à Aubigny où elle dut trè populaire. Elle laissa la seignerie d'Aubigny à son petit-fils, le second duc de Richmond. (Le premier duc était décédé avant elle en 1723).

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